Motrec préfère Sherbrooke mais n’exclut pas d’autres villes
Motrec Internationale souhaite agrandir son usine dans le parc industriel Gene-H.-Kruger à Sherbrooke, mais n’élimine pas la possibilité de s’établir ailleurs. «Je crois et j’espère qu’on arrivera à une entente qui nous permettra de demeurer à Sherbrooke», affirme le propriétaire Blair McIntosh.
(SHERBROOKE) En pleine croissance, Motrec Internationale prévoit doubler la superficie de son usine au cours des prochains mois. L’entreprise privilégie l’option d’agrandir son usine située dans le parc industriel Gene-H.-Kruger à Sherbrooke, mais n’élimine pas la possibilité d’une usine dans une autre municipalité telle que Drummondville, Magog, Windsor ou Plattsburgh.
« On s’est fait approcher par d’autres villes et nous avons regardé la possibilité de nous relocaliser ailleurs, mais à la fin de la journée, notre préférence est de garder et centraliser toutes nos activités à Sherbrooke. Avec tout le travail que nous avons fait avec Sherbrooke Innopole et les autres intervenants des gouvernements provincial et fédéral, je suis très optimiste. Je crois et j’espère qu’on arrivera à une entente qui nous permettra de demeurer à Sherbrooke », note Blair McIntosh, propriétaire de Motrec Internationale.
La décision devrait être prise en avril. Les travaux devraient débuter avant l’été et se poursuivre jusqu’en octobre.
L’usine de Sherbrooke a actuellement une superficie de 30 000 pieds carrés et l’entreprise a besoin de 60 000 pieds carrés pour répondre à la demande grandissante pour ses véhicules industriels électriques.
L’entreprise sherbrookoise compte près de 75 employés et elle a une masse salariale de 3 M$.
Sherbrooke Innopole confirme être en négociations avec Motrec Internationale.